Non à la discrimination età la division de la société!
Le 28 novembre, nous voterons sur la loi Covid renforcée. Le peuple pourra à nouveau voter grâce au référendum qu’un nombre record de Suisses ont signé. Nous avons maintenant une chance unique d’oeuvrer ensemble pour surmonter la division de lasociété. Disons «non» à la discrimination, à la surveillance de masse et à la dégradation des droits civils.
Le 28 novembre prochain est l'une des dates devotation populaire les plus importantes de ces dernières années: les électeurs suisses auront en effetl'occasion unique ce jour-là de remettre notre pays sur les rails et d’en finir avec la dangereuse division de la société. Le référendum sur la loi Covid a été rendu possible grâce au nombre record de signatures récoltées: 187'000! Jamais, dans l'histoire de la démocratie directe de notre pays, les citoyens n'ont été aussi nombreux à signer un référendum. Et dans des délais très courts: trois semaines! Un signal fort qui doit maintenant être confirmé par un «non» dans les urnes le 28 novembre.
«Actuellement, notre démocratie est en danger»
Pour le philosophe Michael Esfeld, le certificat donne un faux sentiment de sécurité. La politique paternaliste duConseil fédéral priverait selon lui les citoyens de leurs droits.
Ne plus accepter les gens comme des êtres libreset responsables revient à détruire la science et la démocratie.
«Le certificat Covid est un désastre pour notre branche»
Quels sont les impacts des mesures Covid sur les centres de fitness?
Réponse de Kathi Fleig, entrepreneuse et exchampionne du monde de fitness.
La loi Covid-19: davantage qu'une question de pouvoir
Le Sars-CoV-2 tient le monde en haleine. Cela étant, il existe de grandes différences dans la manière d’aborder et de gérer cette pandémie. Alors que des pays comme la Suède ou l’État américain du Texas recommandent des mesures de protection sur une base facultative, la politique de nos pays voisins, l’Allemagne ou la France, renforce les mesures légales ou les ordonnances. Mais nulle part ailleurs dans le monde, un gouvernement démocratique, dûment légitimé, ne peut modifier les lois et agir sans le consentement du parlement en place sous prétexte de lutter contre une pandémie. Nulle part ailleurs, sauf peut-être en Suisse, où la loi Covid-19 (RS 818.102) actuellement en vigueur devrait survivre au vote du 13 juin. Parce que la loi accorde au Conseil fédéral un pouvoir qui est contesté sur le plan constitutionnel. En outre, les durcissements récemment introduits pourraient-ils entraîner une dérive autocratique, et ce, même si les partisans de la loi voudraient nous faire croire le contraire? Et sur quelle base factuelle cette loi repose-t-elle au fond?
Nils Melzer, rapporteur spécial des Nations Unies, à propos la loi MPT
Le juriste et diplomate suisse Nils Melzer est depuis 2016 rapporteur spécial de l’ONU sur la torture. Il est considéré comme l’un des experts les plus pointus dans les domaines de l’oppression étatique et de la répression psychologique organisée par l’État.
Son rapport sur la torture dite blanche et les aspects juridiques de l’emprisonnement de Julian Assange ont fait de lui un expert très demandé au niveau international. Il nous éclaire dans cette interview exclusive sur les subtilités et les facettes de la loi MPT.
Sources
Dans ce journal, nous n’avançons aucune affirmation, uniquement des informations accompagnées de leurs sources.